I DON’T KNOW HOW
BUT THEY FOUND ME
(ou iDKHOW pour faire plus court)
« RAZZMATAZZ »
PREMIER ALBUM
ACTUELLEMENT DISPONIBLE Ecoutez le ici : https://idkhow.lnk.to/rzmz
TOP 10 RADIO ALTERNATIF AUX USA
Plus de 100 millions de streams sur Spotify !Inclus le single » Leave Me Alone »
« Dallon Weekes invoque les esprits de David Bowie et Prince…
il réussit à sublimer ce son rétro-futuriste si unique de strass et de paillettes
bien old-school » Altpress
« Si vous aimez l’indie-pop, il est urgent de découvrir iDKHOW…
un disque prenant, dansant et extrêmement bien produit…
Que du bonheur… » – MyRock
« iDKHOW redéfinit le rock alternatif…
Un groupe à suivre de près ! » – Rolling Stone France
« Énergique » – NME
« Des titres lumineux comme un hommage à la pop vintage » – DORK
« Des paysages infusés de glam » – American Songwriter
« Des rappels de Prince et de Bowie période Let’s Dance » – Atwood Mag
« Le titre Leave Me Alone bat la mesure au rythme des synthés
à vous faire sauter de bonheur sur le dancefloor » – Bring the Noise
« Le groupe américain évoque les bondissants Metronomy
sur cette offrande indie pop vibrante » – Mystic Sons
« Dans une tradition qui doit beaucoup à Peter Gabriel en terme de vivacité et de brillance,
l’excentricité effervescente du titre est extrêmement palpable et aussi captivante qu’amusante » – Come Here Floyd
Crédit photo: Lauren Watson Perry
I DONT KNOW HOW BUT THEY FOUND ME… derrière ce nom à rallonge, directement inspiré du film « Retour Vers Le Futur » et souvent simplement réduit à l’acronyme iDKHOW, se « cache » un groupe formé en 2016 par le bassiste / chanteur Dallon Weekes, connu pour avoir été membre de Panic! at the Disco de 2009 à 2017, et Ryan Seaman, ex-batteur de Falling In Reverse.
Le duo a sorti son premier album « Razzmatazz fin 2020 via le label Fearless Records / Caroline. Ce disque est une collection de titres envoûtants nous transportant dans un paysage féerique vibrant qui caractérise l’essence même du groupe. Il y dévoile tout son amour du pop rock et de la new wave, se livrant avec une « énergie rock alternative contagieuse culminant dans une explosion musicale aussi fraîche qu’enfiévrée » selon Atwood Magazine.
iDKHOW a commencé comme un projet secret, orchestré par Dallon Weekes suite à son départ du groupe Panic! At the Disco. Dallon confie « le titre Razzmatazz est en référence à cette poudre de perlimpinpin que l’industrie saupoudre sur son passage pour donner l’impression que tout est merveilleux et étincelant, alors que tout est sale et vulgaire en dessous ».
L’album, très attendu, avait été précédé différents qui avaient annoncé la couleur, notamment le diabolique single taillé pour les dancefloors « Leave Me Alone », un titre infusé d’électro « New Invention », l’éclair d’indie pop bondissant « Lights Go Down » ou encore l’énergique et brillant titre final qui a donné son nom à l’album.
Le groupe a pris tout le monde par surprise en récoltant plus de 100 millions de streams rien que sur Spotify, se hissant à la première place du top nouveautés de Billboard avec l’EP «1981 Extended Play » qui a tourné en boucle sur les radios de rock alternatif partout dans le monde.
Dallon Weekes s’est fait connaître entre 2009-2018 comme le trublion de Panic! At The Disco, parcourant le monde et récoltant des certifications or et platine en composant des titres à succès comme « Too Weird to Live, Too Rare to Die! » et bien d’autres. En 2016, il présente iDKHOW lors d’un concert intimiste à Los Angeles avant de nier toute existence du projet embryonnaire. C’est finalement juste avant de partir en tournée et de jouer sur la scène principale des festivals de Reading et Leeds au Royaume-Uni aux côtés de Twenty One Pilots, The 1975, Billie Eilish, The Killers, The National ou Blink 182, que le groupe est révélé au grand public.
« Razzmatazz » est donc nouveau chapitre dans la saga iDKHOW, une histoire haletante qui se déroule dans un monde aux multiples facettes tout droit sorti de l’imagination de Dallon. Un teasing rondement mené avait laissé croire que iDKHOW était un groupe vieux de plus de trente ans qui était passé à côté du succès. Un compte anonyme avait mis le feu aux poudres en sortant une série de vidéos tirées de ce qui semblait être des archives du groupe. Des clips publiés de manière aléatoire et datés de 1964 à 1983 semblaient indiquer des origines mystérieuses dont le secret n’avait pas encore été percé.
Des images qui n’ont rien à voir avec celle du clip illustrant le single » Leave Me Alone «
Réalisée par Raul Gonzo en août dernier à Los Angeles, cette vidéo s’inscrit bien plus dans la réalité que la planète vit depuis plusieurs mois. En effet, elle présente Dallon et le batteur Ryan Seaman observant les consignes des autorités sanitaires tout en étant plongés dans un monde touché par la pandémie et qui semble tout droit sorti de l’imagination de Kubrick avec son lot de science-fiction et de paranoïa très années 70.
« Nous nous sommes lancés un gros défi en tournant ce clip en plein milieu d’une pandémie » confie Dallon. « Nous voulions incorporer plein d’éléments tirés du monde tel qu’il était au moment du tournage. Avec les consignes de distance de sécurité, de désinfection, de confinement…tout semblait compléter parfaitement le thème de la chanson, qui parle de l’envie de rester seul et confiné pour rester éloigné des gens et situations toxiques ». Rien qu’aux États-Unis « Leave Me Alone » a déjà récolté plusieurs millions de streams grâce au soutien de nombreuses radios, alors que la France commence à peine à découvrir ce duo de choc… mais de chic aussi…